Gares routières : rencontre en terre inconnue

7 juin 2016

Les gares routières ont été un peu les oubliées de la loi Macron. Combien y en a-t-il en France ? Qui les gère ? Quelles sont les conditions d’accès et comment doivent-elles être régulées pour préserver une concurrence équilibrée ? Ces questions ont été abordées lors du deuxième petit-déjeuner du club Transport public-Mobilicités, organisé sur ce thème le 2 juin 2016 à Paris.

« La loi Macron n’est pas silencieuse sur les gares routières, même s’il reste des points à préciser », reconnait Anne Yvrande-Billon, vice-présidente de l’Autorité de régulation des activités ferroviaires et routières (Arafer). « L’une de nos missions est d’élaborer un registre de ces gares. Ce recensement sera utile à la fois pour les opérateurs de ces liaisons par autocar mais aussi pour les usagers finaux ».