Contrairement à ce qui a été écrit dans plusieurs articles de presse, ce ne sont pas les nouveaux tarifs des péages des concessionnaires d’autoroute applicables à partir du 1er février 2018 que l’Arafer avait jugé excessifs dans ses avis de juin 2017.
L’Autorité s’était prononcée sur les hausses de péages pour les années 2019, 2020 et 2021, prévues dans le cadre du financement du plan d’investissement autoroutier conclu avec les concessionnaires par le précédent gouvernement.