Dans son vaste bureau du 48e étage de la tour Montparnasse, Bernard Roman a failli tomber de son fauteuil en lisant l’article 6 du projet de loi pour un nouveau pacte ferroviaire. Alerté par un journaliste du quotidien Les Echos, le président de l’Autorité de régulation des activités ferroviaires et routières (Arafer) a découvert au détour de quelques phrases apparemment anodines que la future loi réformant le système ferroviaire français s’apprête à amenuiser les pouvoirs du régulateur que M. Roman incarne.
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